Tétée d'accueil
Parentalité

Allaitement ou biberon, quand on ne choisi pas

On a beau désirer quelque chose au plus profond de ses tripes, parfois la vie nous force à prendre des décisions qui nous brisent le coeur.

J’avais choisi l’allaitement, je l’espérais durer longtemps, et pourtant quelques mois plus tard, tu étais nourrie au biberon…

Je ne savais si j'aurais un jour été prête à m'exprimer sur le sujet... Ces bijoux, reçu au courrier sce matin, symbolisent la fin de mon "deuil". Notre allaitement sera à jamais là, tout contre moi, tout contre toi si tu le souhaite. C'est enfin le moment de me pardonner et de tourner la page de notre aventure lactée.

Un choix d'allaiter, pas si naturel

Les désirs du Papa comptent aussi

Haaaa, les codes, les habitudes, les on-dits… Sans jeter de pierre à qui que ce soit, je constate que ce que nous avons toujours vu et entendu, est bel et bien gravé dans notre esprit comme “la norme”.

De mon côté, j’avais retenu de l’allaitement que c’est douloureux, contraignant et que cela mettrait le Papa à l’écart. Mon tempérament très indépendante me poussait à aller pour la team biberons, “parce que je suis une femme moderne”.

Je te parle de ça plusieurs années avant de songer à commencer les essais bébés! Et puis il y a eu les premières conversations avec ton Papa, sur l’éducation, la parentalité, etc… Pour lui, le scientifique, il était clair que rien ne pourrait égaler le lait maternel.

Vas savoir pourquoi, à l’époque, il avait un avis si ferme et définitif sur le sujet?!

Quand est venu le jour où mes hormones ont hurlé “donnes-nous un enfant” (C.f. mon article sur le désir d’enfant), la condition sinequanone a été une promesse de ma part que j’essaierai, au moins à la maternité, de te mettre au sein.

T'as pas de seins, t'as pas la parole sur l'allaitement

De base, je suis tout à fait d’accord que la décision finale revienne à la Maman. C’est mon corps, mes seins, mon choix d’allaiter ou pas.

Cependant, on décide d’avoir un enfant à deux. Ce qui relève de la santé de cet enfant, sur le long terme qui plus est, devrait quand même laisser la porte ouverte aux avis du Papa. 

Aujourd’hui, je lui dis mille fois merci à ton Papa, de m’y avoir gentiment forcée! 

Un peu poussée par la science... et beaucoup par l'expatriation

On ne veut que le meilleur pour nos enfants

Je pourrais te sortir des dizaine d’articles, de revues scientifiques, de témoignages… sur les bienfaits du lait maternel VS le lait artificiel. Mais je ne suis pas là pour assener des coups de marteau dans les esprits.

Libre à chacun de pousser les recherches avant de prendre sa décision. Voici juste un lien vers les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé, concernant l’alimentation du nourrisson: Ici

La formule de la formula (les biberons made in USA)

Au delà des bienfaits nutritionnels (et émotionnels, nous y reviendrons) de l’allaitement, j’ai rapidement pris conscience des méfaits et désavantages du lait infantile vendu aux USA…

Nous nous sommes tout de même penchés sur la question durant ma grossesse, “au cas oû”. Ce fût un violent désenchantement! On nous vend des laits “équivalents à ce que la maman peut apporter”… Mais les “baby formula” vendues aux USA sont bourrées d’ingrédients indésirables, voir nocifs à la santé de nos enfants! 

  • Taux de sucre trop élevé,
  • Corn Syrup (sirop de maïs, indice glycémique +++, responsable de bon nombres de cas d’obésité dans ce pays),
  • nutriments synthétiques et donc pas transformables par l’organisme,
  • A R S E N I C! (80% des laits infantiles américains ont été testés positifis à l’arsenic!)… 

Petite cerise sur le gateau de lait en poudre made in USA, le prix au kilo est 2 à 3 fois plus élevé qu’en France!

Ce sera donc bébé allaité

Breeeeef, pour faire court, à quatre mois de grossesse j’avais pris ma décision ferme et définitive:

  • Il était hors de question de te nourrir avec cette merde (Pardon my French), je t’allaiterais jusqu’à ce que tu sois en âge de boire du lait de vache normal.

Notre aventure lactée

La maternité

Tété d'accueil

Je crois qu’aux USA comme en France, quelques secondes après l’accouchement, une infirmière nous propose de mettre notre enfant au sein pour la “tété d’accueil”. C’est l’instant que je redoutais le plus, j’avais peur d’avoir mal, ou que tu ne tètes pas bien (ce qui aurait présagé un allaitement compliqué).

Honnêtement, les minutes suivants ta naissance, j’étais tellement déconnectée de la réalité! Je ne controllais plus rien, ni mes gestes, ni mes pensées. Et je crois que c’était un peu pareil pour Papa…

Si on ne tombe pas sur une équipe bienveillante et respectueuse, les premières minutes de vie de notre bébé peuvent facilement nous être “volées”…

Pour notre part, j’avais eu la présence d’esprit de tout bien demander aux infirmières en amont. Je ne voulais pas qu’on te lave, qu’on te sorte de mon champs de vision, je voulais que tu restes sur moi jusqu’à ce que le cordon cesse de battre, et faire cette fameuse tété d’accueil le plus tôt possible. 

Tous mes voeux ont été exaucés, à peut près, comme je le désirais. Aujourd’hui, cette première mise au sein est complètement floue dans ma mémoire. Je sais juste qu’elle s’est bien passée. Tu as immédiatement eu ce réflexe de succion tant espéré / redouté. Je n’ai ressenti aucune douleur, au contraire! Cela a été une révélation, j’ai immédiatement aimé cette sensation de t’avoir encore accrochée à moi!

Un suivi personnalisé

Aux États-Unis, on ne reste à la maternité que deux petites journées. Il faut mettre à profits ces 48h, pour emmagasiner autant d’informations que possible! 

Par chance, notre maternité disposait d’une consultante en lactation. Elle est venue nous voir en chambre au bout de seulement deux ou trois heures. Sans se montrer intrusive, elle a trouvé les réponses aux interrogations que je ne savais pas moi-même que j’avais en tête!

Elle m’a donné des conseils pour prélever le colostrum à la main, ce qui activerait plus rapidement la montée de lait. En parallèle des tétés, je te donnais donc des petites cuillères de colostrum que tu sucotais du bout des lèvres.

L’assistance en lactation est revenue nous voir deux à trois fois par jours. Elle m’a beaucoup aidé à trouver les positions qui fonctionneraient le mieux pour nous. Grâce à tous ses précieux conseils et à sa patience, ma montée de lait s’est faite sans douleur et sans stress.

Colostrum
(nom masculin, du latin colostrum)
Le colostrum, c’est le premier lait, le plus gras et le plus nutritif. Il apporte tout ce dont le nouveau-né a besoin à son arrivée dans notre monde, rempli de méchantes bactéries.
Montée de Lait
(nom féminin, je ne sais comment ça se dit en latin)
La montée de lait est la transition entre le colostrum, que nous avons dans les seins dès la fin de la grossesse, et la production du “vrai” lait.
Elle peut prendre quelques jours et demande parfois un stimulation manuelle ou mécanique, à l’aide d’un tire-lait.
Chez certaines femmes, elle est si forte et “violente”, que les seins s’engorgent (car trop remplis), c’est ce qui peut créer des douleurs.
Les premières tétées à la maternité

Retour à la maison

Mon bonheur, allaiter la nuit

Dès notre retour de la maternité, l’allaitement s’est bien passé. Les difficultés à trouver la bonne position étaient passées, et nous étions des championnes de tétées!

J’ai presque ‘honte” de le dire, mais je n’ai jamais eu une seule douleur, la moindre crevasse, rien du tout! Une fois seulement, un petit engorgement, qui a duré trois jours. Grâce à tous les précieux conseils trouvés en ligne, j’ai sû y mettre fin assez rapidement. 

Nos moments câlins ont tout de suite été particulièrement précieux pour moi. Je te regardais, blottie contre moi, toute chaude… Ce que j’aimais par dessus tout (merci au shoot d’hormones qui supplantait si bien la fatigue), c’était me réveiller quelques secondes avant toi la nuit, comme si nous étions connectées, et aller me mettre dans notre fauteuil dans le salon. 

J’aimais me retrouver dans la pénombre et le silence, et écouter les petits sons que tu faisais en te délectant de cet or blanc. 

La magie du tire-lait

Il a rapidement été primordial pour moi de pouvoir reprendre le sport, m’échapper de la maison de temps à autres. Comme je voulais le faire sans stress, j’ai commencé à tirer mon lait après environ trois semaines.

Je savais que les bébés font des pics de croissance vers 3, 6 et 9 jours/semaines/mois. J’étais préparée et équipée, pour te garder collée à moi aux premiers signes de ces fameux pics. 

Par chance, notre assurance santé offrait aux jeunes parents un tire lait électrique et tous les accessoires allant avec. Je saisissais l’occasion de la fin de ton premier pic de croissance, pour stocker au congélateur toute cette surproduction!

Bon, il faut préciser que les premières tentatives de biberon ont été vaines… Il a fallu à Papa plusieurs semaines, pour que tu acceptes, de temps en temps, de boire un peu de lait tirer. 

Pic de croissance
(Aussi appelé: “J’ai une sangsue pendue à mes seins 24h/24 pendant trois jours”)
Aux alentours de 3 , 6 et 9 jours / semaines / mois, les bébés font ce qu’on appelle un pic de croissance. Leur corps et leur cerveau, en plein “boom” de développement, ont alors un besoin accru en calories. Ils passent beaucoup (beaucoup) de temps à manger, et réclament une attention particulière.
Sans mentir, à la fin de chacun de tes pics, nous pouvions voir, à l’oeil nu, que tu avais grandi!
La cantine est bonne

"Choisir" de passer au biberon

Les raisons de cette décision

Le début des difficultés

Vers tes six semaines, nous avons constaté que ton sommeil était très agité. Tu te réveillais parfois en pleurs, en te tordant dans tous les sens. Aprés consultation avec ta pédiatre, puis un chiropracteur, nous avons découvert que tu avais un reflux, ainsi que beaucoup de gaz.

Qu’elles. en étaient les origines? Nous ne l’avons jamais vraiment sû… 

Pour le reflux, nous avons tenté de multiples techniques d’inclinaisons pour te faire dormir. La solution finale aura été de mettre ton transat directement dans ton lit, pendant quelques mois. Pas forcément recommandée ergonomiquement, cete solution a été testée et approuvée contre les remontées acides, avec bercement naturel en bonus!

Le chiropracteur a été magique pour aider à soulager tes gaz. Il nous a également fourni des conseils, pour les apaiser nous-même à la maison. Des heures de massages de bidou, de pédalo de jambes et de “tummy time” (temps sur le ventre) plus tard, tu étais encore bien souvent gênée, voir constipée…

Nous avons commencé à soupsonner un peu tous les aliments que Maman consommait… Et si j’arrêtais de manger ceci, et si je faisais une pause sur cela? Nous avions de plus en plus de doutes sur le lactose…

Quand le stress s'en mêle

Dans notre aventure de jeunes parents, nous étions sur notre petit nuage. La fatigue se faisait doucement ressentir, mais nous étions heureux! 

Quelques jours avant ton troisième mois, nous avons déménagé dans un plus grand appartement. Cela t’a légèrement perturbée, mais tes pilliers étaient là: les tétées, le cododo, l’odeur de Maman.

Seulement, une dizaine de jours plus tard, Papa a perdu son emploi… Ce fût un coup de massue pour tout le monde! Une grosse période de tensions et d’incertitude. Même si il n’aura fallu que quelques semaines à Papa, pour retrouver une travail, le mal était fait…

Nous n’étions plus dans la même légèreté, notre bulle avait explosé. Mon corps a réagi à ce gros pic de stress en ralentissant mon “réflexe d’éjection”. Cela se traduisait par de longues secondes de tétée dans le vide, avant qu’enfin le lait sorte de mes seins.

Forcément, quand tu réclamais à téter, c’était que tu avais déjà faim… Tu n’avais donc pas la patience de “faire venir” le lait, cela provoquait chaque fois des crises de colères.

Après un quinzaine de jours très tendus, la situation n’avait fait qu’empirer. Je stressais pour chaque tétée, et plus je stressais, plus le rélfexe d’éjection était long à se faire… Nous étions dans un cercle infernal!

Réflexe d’éjection
(Pshhhhit!)
Le réflexe d’éjection correspond au moment où le lait sort du sein.
Lorsque bébé tête, il crée la production du lait dans les glandes mammaires. Cette même tétée provoque le réflexe d’éjection, grâce à une succion efficace.
Certaines mère présentent un REF (réflexe d’éjection fort), qui peut être la cause de vomissements chez le bébé, quand le lait arrive trop “fort” en début de tétée.

Passer aux biberons, mais pas à n'importe quel prix

Quel lait choisir?

Comme je te l’ai dit, il était hors de question que tu boives du lait en poudre américain. Nous avions eu quelques échantillons en cadeau et, vraiment, rien qu’à l’odeur, nous pouvions affirmer que c’était imbuvable! 

Dès les premières difficultés de tétées, j’anticipais une éventuelle fin de notre allaitement. J’effectuais des recherches auprès des communautés de mamans expats sur les réseaux sociaux. Ce fût un soulagement de découvrir que cerains sites de parapharmacie européens livrent aux États-Unis.

En réalisant quelques rapides calculs, nous avons été surpris de constater que, malgré des frais de ports très élevés, les huits boites de lait infantile français nous reviendraient moins chères que si nous achetions de la formula américaine… 

Je passais quelques semaines à hésiter entre “on arrête” et “on essaie encore un peu”. Durant cette période, je tentais également de constituer un bon stock de lait, dans notre tout petit congélateur.

Nous nous sommes résolus à mettre un point final à l’allaitement vers tes quatre mois. En prévision d’un voyage de trois semaines, seule avec toi, Maman ne pouvait imaginer rester dans le stress de tétées compliquées, et encore moins devoir tirer son lait!

Les deux semaines précédents le voyage, tu n’étais plus nourrie qu’au lait décongelé, que nous avons progressivement mixé avec le lait commandé en France. Pendant ce temps, Maman diminuait petit à petit sa production de lait, en espaçant les tirages.

Tu as bu ton dernier biberon de lait maternel la veille de notre voyage en France… 

Et le lactose dans tout ça?

Dès notre retour de voyage, nous avons décidé de te passer à une alimentation très réduite en lactose. De toute façon, tu n’as jamais trop aimé manger des yaourts ou du fromage… La seule chose que nous devions mettre en place était donc de te proposer des biberons “lactose-free”.

Nous avons découvert ici un poduit magique (qui ne se trouve pas si facilement en France je crois): des gouttes de lactase! Quand on y regarde de plus près sur les ingrédients des laits allégers ou sans lactose, on s’appercçoit que c’est exactement ce qu’ils mettent dedans! (Matin légér de Lactel)

Nous préparions tes biberons en avance, avec quelques gouttes de lactase, et les conservions au frigo. Il ne suffisait plus que de les réchauffer, quelques secondes avant tes repas. 

Le plus gros inconvénient était de se lever la nuit pour aller chercher et chauffer un biberon… Ou alors en voyage, car cela demande une organisation un peu plus poussée!

Aujourd’hui, un an plus tard, nous n’avons toujours pas la certitude de cette allergie / intolérance. Ta pédiatre n’a jamais proposé de te tester, et connaissant les prix de ce genre de test, nous n’avons pas vraiment insisté non plus…

Tu es toujours au lait sans lactose, nous mélangeons à présent lait entier lactose-free (bio) du commerce et lait troisième âge (toujours importé de France). Tu manges un peu plus de produits laitiers et cela ne te dérange plus trop… Nous allons voir par la suite!

Lactase
Nom féminin, biochimie
La lactase est une enzime qui casse la molécule de lactise dans le lait. Elle la transforme alors en glucose et en galactose. Cette action permet un meilleure digestion du lait.
Les astuces de Maman pour les biberons

Une année au biberon

Chute d'hormones

Ce qu’on ne nous dit pas, à nous les mamans, c’est que l’allaitement agit sur notre organisme comme une drogue… Nous sommes sous “l’emprise” d’hormones très fortes, qui se propagent en nous à chaque tétée! 

Un sevrage progressif se fait probablement en douceur, pour la maman et l’enfant… Mais la brutalité de notre fin d’allaitement a été physiquement et mentalement douloureuse pour moi. Pendant de longs mois, je ne suis pas parvenue à remonter la pente de cette violente chute d’hormones.

Des débuts compliqués

Comme si tu savais que je n’avais pas vraiment envie de passer au biberon, tu as longtemps boudé ton lait… Tu n’acceptais de boire que dans la pénombre de ta chambre, au moment d’aller te coucher pour une sieste ou pour la nuit. 

Petit à petit, tandis que je me réconciliais avec la situation, tu profitais, toi aussi de nos biberons câlins. Aujourd’hui, tu as 15 mois, et tu bois beaucoup plus de lait que la moyenne des bébés de ton âge! Peut-être rattrapes-tu tous ces biberons ratés des premiers mois…

Les nuits

Combien de fois avons-nous entendu “quand tu la passeras aux biberons, elle fera ses nuits”, “le biberon est plus nourrissant, c’est parce que tu l’allaites encore qu’elle se réveille la nuit”… Je continues de penser que tous ces conseils étaient purement bienveillants. Notre entourage voyait à quel point je commençais à être fatiguée d’assumer, seule, toutes les nuits.

Les premiers temps qui ont suivi l’allaitement, je continuais à me lever chaque nuit. Un mélange de culpabilité et d’instinct de maman ours m’interdisait de rester endormie, si je savais tu avais besoin de quelque chose. 

Vers tes sept mois, tu te réveillais encore une à deux fois par nuit, pour un biberon ou un câlin. J’étais épuisée, toujours dans mes idées noires d’avoir échoué, sur ce terrain qui me tenait à coeur…

Nous avons pris la décision, ensemble avec ton Papa, de te mettre à dormir dans ta chambre. Papa a également dit stop à ma stupidité, car c’en était clairement. Nous avons mis en place un roulement, dorénavant, nous nous lèverions une nuit sur deux. 

Et H E U R E U S E M E N T, car, mis à part quelques nuits par ci par là, tu t’es réveillée la nuit jusqu’à tes 13 mois!!! Biberon ou pas biberon, céréales le soir ou pas… L’apprentissage du sommeil n’a vraiment rien à voir avec l’alimentation, qu’on se le dise!

Bilan

Notre aventure lactée aura été mouvementée. Que ce soit l’allaitement ou le passage aux biberons, rien n’est joué d’avance, rien n’est gagné.

On peut avoir la plus grande conviction et la plus fort détermination d’aller vers l’un ou l’autre, il faudra accepter de lâcher prise et de suivre les envies et besoins de notre bébé jour après jour. Comme pour tout dans la maternité, il est primordial de savoir s’écouter, se faire confiance.

Je rajouterais une mention particulière à l’importance du Papa dans cette aventure. Il y a tant à gérer émotionnellement, humainement et physiquement dans le post-partum.

Communiquer avant la naissance, donner de la place à l’autre une fois que le bébé est là, être capable d’émettre et de recevoir des signaux d’alerte… Ce sont de points essentiels à mettre en place au sein du couple de parents, et qui nous ont manqués les premiers mois.

Un petit mot de la fin, pour les mamans et futures mamans qui me lisent... VOUS FAITES CE QUE VOUS VOULEZ / POUVEZ, ALORS DÉCULPABILISEZ!

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