Le bouncer magique anti-reflux
Parentalité

Le sommeil de bébé – la première année

On le sait tous, la première année de bébé est un vrai challenge pour les parents. À moins d’avoir mis au monde un bébé magique descendant direct d’un lignée de licorne, vous allez en suer à minima quelques semaines sur le sujet du sommeil.

"Alors elle fait ses nuits", la phrase tant redoutée qui fait grincer des dents... Que cela prenne 3 semaines ou 13 mois, dites-vous bien que ça viendra!

Les mystères des pleurs de bébé

Te comprendre...

Ce n’était pas l’article que j’avais en tête décrire tout de suite. Mais la “sleep regression” que nous traversons actuellement est difficile à vivre. J’ai besoin d’un exutoire, pour laisser s’échapper ma frustration.

On ne peut pas dire que tu sois un bébé qui ne dort pas. Ni que tu sois “un cauchemar” à faire dormir. (Quoique rares ont été les couchers 100% réussis) Mais pour cette première année, nous avons, comme tous parents, notre lot de périodes plus compliquées que d’autres sur le point du sommeil de bébé.

À mon grand regret, je n’ai pas pris bébé seconde langue au lycée… Alors, je ne sais pas toujours quelles sont les raisons de tes pleurs. Quand tu t’énerves au moment d’aller te coucher, je ne sais pas si ce sont les dents qui poussent et te font mal, si tu as encore faim, si ta couche est sale, si tu as des gaz… ou si c’est juste ton petit doigt de pied gauche qui te gratte!

Premiers jours de bébé

...Pour agir

Il faut savoir qu’un pleur de bébé peut en cacher un autre (et c’est souvent le cas)… Il faut donc établir un plan d’action, qui permette l’élimination de toutes les sources de troubles possibles. Sauf qu’une solution qui a fonctionné un jour sur un problème, ne fonctionnera pas forcément la fois d’après… Mais pourra, éventuellement, être la solution pour le coucher trois jours plus tard…

Pfiou c’est un vrai casse tête, que nous avons encore du mal à résoudre certaines fois!

Je tiens à te préciser quand même, que faire dormir un bébé ce n’est pas uniquement la galère du soir! Parce que tes premiers mois de vie, ma chérie, tu faisais aussi deux à trois siestes dans la journée… Je te laisse faire un calcul rapide du nombre de “rituels du dodo” que j’ai subi jusqu’à aujourd’hui (Pour info, tu as 8 mois 1/2 à ce jour).

Tu ne m’en voudras pas j’espère, de parfois manquer de patience (que j’avais déjà en très faible quantité), de parfois crier, de parfois pleurer, de parfois lancer des objets contre les murs (mieux vaut un biberon vide que toi!). Quand la tornade émotionnelle monte en moi, il est souvent trop tard pour revenir en arrière et me calmer à temps…

Tu comprendras ma Louisette, que dans les périodes vraiment compliquées, je redoutais le moment d’aller te coucher. Au premier signe de fatigue que tu montrais, une boule se formait dans mon ventre… Pleine d’appréhension pour les minutes, parfois les heures qui allaient suivre… 

[Avant que quiconque n’appelle les services d’aide à l’enfance, je tiens à préciser que je n’ai jamais violenter ma fille!! Les moments de craquages de la maman imparfaite que je suis se font loin de mon innocente progéniture! Un article sur les imperfections de la maman imparfaite est en cours de rédaction]

Shhht bébé dort

En attendant de trouver un rythme

Quand jours et nuits se confondent encore

À ta naissance, tu étais un bébé magique! Tu dormais tout le temps, partout. Tu tétais super bien, je n’ai jamais eu une seule douleur. (Article sur mon allaitement et son “échec”, ici) Le premier mois a été tellement simple!

J’aimais tellement nos moments câlins au milieu de la nuit. C’était comme un précieux secret que nous partagions juste toi et moi. Mes hormones étaient probablement encore au taquet. Rien ne pouvait m’atteindre, j’étais comblée de bonheur de t’avoir enfin contre moi.

Je ne ressentais pas la fatigue, qui pourtant s’accumulait doucement. J’avais lu quelque part qu’il était important d’aider bébé à différencier le jour et la nuit. Afin que tu crée un rythme circadien (n’étant pas pédiatre, je t’invite à faire quelques recherches sur le sujet: Sommeil de bébé)

La nuit, j’essayais donc de me réveiller avant que tu ne sortes complètement du sommeil. Sans allumer la lumière et sans faire de bruit, je te laissais téter, je te changeais la couche s’il le fallait. J’attendais quelques minutes que tu sois profondément rendormie, et je te reposais tout doucement dans ton lit.

Tu as vite compris que les temps d’éveils devaient se faire de jour. Nous avons eu cette chance de ne jamais avoir à jouer avec toi à 3h du matin!! Les seuls réveils nocturnes n’ont jamais été que pour manger… ou à cause de coliques…

Coliques, gaz et reflux

Au jour de ton premier moiniversaire, tu as eu ta première crise de coliques (c’était un peu un auto-diagnostique pour être honnête). Tu te tortillais comme un asticot dans ton sommeil, et cela a fini par te réveiller. Nous avons appris comment te masser le ventre et quelques exercices pour évacuer les gaz qui te dérangaient. Ça a été très efficace, sauf que tes repos en étaient malgré tout altérés…

Ce fut le début des complications… Maman a remis en question toute son alimentation. Et si c’était ceci qui te donnait des gaz, ou bien cela qui provoquait tes ballonnements… Un reflux est venu s’ajouter aux gaz (qui n’étaient donc pas des coliques, cf. plus haut, je ne suis pas pédiatre… les explications scientifiques: coliques du nourrisson). Nous avons mis un peu plus de temps à le percevoir et le faire diagnostiquer.

Tu faisais d’atroces sons avec la gorge dès que nous t’allongions dans ton lit et tu t’agitais sans parvenir à t’endormir…  Ta pédiatre nous a conseillé de te faire dormir sur un plan incliné. Nous avons alors inventé un système très ingénieux, et pas du tout aux normes de sécurité. L’inclinaison se faisait à l’aide d’un coussin dense, nous te glissions dans un tee-shirt à Papa maintenu par des ceintures! Résultats de l’équation  = Bébé dormait!!

N’appelez toujours pas la DASS, cela n’a duré que quelques jours. Nous nous sommes faits prêter par des amis un bouncer (je crois qu’on appelle ça un transat en français) qui rentrait tout pile poil dans ton lit! Aussi incroyable que cela puisse paraitre ça a fonctionné et tu as dormi dans cette configuration pendant des semaines. Le reflux a fini par partir de lui même, quand nous avons introduit des aliments solides à ton alimentation.

Les techniques de plans inclinés

Les bébés sont des éponges au stress

Les gaz… quelle plaie! On m’a conseillé de t’emmener voir un ostéopathe, sauf qu’aux USA, il n’y en a pas ou peu. L’équivalent était, selon notre pédiatre, un chiropracteur. Nous avons donc pris un rendez-vous avec le “Magicien”, comme nous l’avons appelé. Une expérience très désagréable pour une jeune maman, et surtout pour un si petit bébé! Il t’a manipulé et a dénoué un paquet de noeuds musculaires.

D’après les dires du Magicien, la grossesse et l’accouchement sont des traumatismes physiques violents pour de si petits corps et il faut “remettre les choses bien en place”. Sur le coup, tu n’as pas du tout aimé! Mais pendant quelques jours tu as été vraiment soulagée. Nous avons donc fait quatre séances je crois. Les gaz avaient presque totalement disparu à la fin.

Notre sommeil était encore instable… Mais en progrès! Tu ne te réveillais plus qu’une fois par nuit, tu faisais de belles siestes et tu étais même capable de t’endormir seule dans ton lit. Je recommande d’ailleurs à tous les parents le bouncer! Bébé s’agite, le truc rebondit, bébé s’auto-berce et se rendort!! A-M-A-Z-I-N-G!

Pour les évènements pas drôles, nous avons tout d’abord dû déménager. L’organisation de cela a épuisée et stressée Maman… L’allaitement a commencé à battre de l’aile à cette période. Et puis deux semaines après notre installation, il y a eu le licenciement de Papa. Nous étions très tendus de cette situation, et tu le ressentais, forcément… Nous sommes tellement désolés ma petite Globetrotteuse, de t’avoir fait traverser tout ça…

Apprendre à dormir

Endormir bébé

Dans cette maison pleine de tensions, tu as vite compris que quelque chose ne tournait pas rond… Et tu laissais exploser ton stress au moment d’aller te coucher. Pendant plusieurs semaines, nous avons vécu chaque soir des crises de larmes et de hurlements. Au moment même où nous passions la porte de la chambre, tu te tordais dans tous les sens, tu étais inconsolable mon petit amour…

Nous faisions des aller-retours dans la chambre pour te bercer. Tu ne te calmais que si nous marchions vite, en te berçant fort… J’étais terrorisée à l’idée de trop te “secouer”! Tu finissais par tomber d’épuisement, parfois au sein, parfois en câlin… Ça me brisait le coeur de ne pas être capable de t’apaiser.

J’ai tout testé, même la méthode du “cry-it-out” (laisser pleurer bébé)… Cf. La bible américaine des jeunes mamans . Mais cela a été encore plus difficile pour moi que pour toi, de t’entendre t’époumoner pendant de longues et interminables minutes. La dernière technique que nous avons tenté de mettre en place a été une “personnalisation” de la  “No Cry Sleep Solution“de Elisabeth Pantley.

Il était à présent hors de question pour moi de te laisser pleurer, tu n’étais pas en mesure de te rassurer seule, ni de te raisonner. C’était notre rôle de parents de t’accompagner bébé vers l’acquisition du sommeil la première année.

Nous t’avons de nouveau swaddlé (emmaillotée) avec une sorte de turbulette adaptée. Ça a beaucoup contribué à te remettre en confiance. Nous avons reconstruit notre rituel du coucher. Chaque élément du rituel se fait dans un ordre précis et tu aimes (ou pas… quand tu as décidé que ce n’est pas l’heure de dormir) reconnaître chaque étape quand elle arrive.

La routine pré-dodo est à mon sens l'élément essentiel de la réussite du coucher. Quand bébé va lui-même chercher son biberon et s'installer dans le fauteuil de la bibliothèque quand il se sent fatigué, c'est bien acquis!

Notre rituel du coucher depuis tes 8 mois:

  1. Aux premiers signes de fatigue (yeux qui frottent, bâillements, perte d’énergie), nous te demandons, en ajoutant le signe à la parole, si tu es fatiguée.
  2. En général, tu nous réponds par le signe de “dodo”, vers tes 13 mois tu as commencé à te diriger vers le frigo pour demander le biberon;
  3. Biberon dans le coin bibliothèque du salon, avec lecture de quelques histoires;
  4. Une fois les livres terminés, nous disons bonne nuit (ou à tout à l’heure, si c’est la sieste) à toute la maison, aux différents éléments que tu désignes (vas savoir pourquoi, si on ne dit pas bonne nuit au canapé alors que tu l’avais pointé du doigt, c’est la crise!);
  5. Nous allons dans ta chambre, fermons les rideaux et commençons notre “playlist de berceuses”: une chanson pour changer la couche et mettre le swaddle (ou la gigoteuse), une autre pour finir le biberon, une troisième pour digérer et faire un dernier câlin et enfin un doux fredonnement en te posant dans ton lit;
  6. Juste avant de te mettre dans ton lit, nous allumons le bruit blanc et éteignons ensemble la lumière.
  7. Parfois tu t’endors facilement, parfois il y a des pleurs et il faut prolonger le câlin… 

La galère des micro-siestes

Grâce à notre nouvelle méthode, nous avons commencé à voir de beaux progrès sur le “moment du coucher”… Pas encore sur les siestes…  Après quelques semaines de sleep training, tu étais, certes, capable de t’endormir seule dans ton lit, mais tu n’arrivais pas à “enchainer les cycles de sommeil”.

Qu’est ce que cela signifie concrètement? Hé bien, le cycle du sommeil de bébé dure approximativement 30 minutes. Chez l’adulte il est plus long, mais il fonctionne exactement de la même manière. À chaque fin de cycle, nous passons par une phase de micro-éveil, souvent imperceptible durant la nuit, heureusement. Certains bébés, comme toi ma Louise, se réveillent un tout petit peu trop pendant cette transition entre deux phases, et ne parviennent pas à se rendormir seuls… 

J’ai mis des jours à comprendre pourquoi tu ne faisais que des siestes de trente minutes, pourquoi tu étais tout le temps fatiguée… Nous avons alors commencé une nouvelle période de stress pour Maman.

À chaque sieste, je guettais, avec le babymoniteur, les signes de fin de cycle, pour discrètement entrer dans ta chambre et t’aider à te rendormir. Ça allait d’une simple remise de tétine, à quelques minutes de bercements. Parfois, ça ne marchait pas, et tu te réveillais complètement.

Honnêtement c’était épuisant mentalement et physiquement de devoir constamment être en alerte. Que tu dormes ou que tu sois éveillée, je ne soufflais jamais.

Surfer sur la vague du progrès

Ces micros-siestes ont duré plusieurs mois. Je lisais sur internet que cela s’améliorait généralement subitement. Mais les témoignages de mamans ne me rassuraient pas sur une date de fin de cette période compliquée. Certaines disaient que leur bébé avait commencé à faire des siestes plus longues à partir de 6 mois, d’autres à partir de 13 mois…

Pour nous, il aura fallu attendre presque 7 mois. Mais cela n’a pas été d’un coup… Il y a eu des jours avec, et des jours sans. La solution qui a sauvé maman, a été la découverte de la randododo.

Quand tu ne voulais plus dormir, je te mettais en écharpe et nous partions pour des kilomètres de marche. J’aurais pu marcher pendant 24h, que tu aurais dormi 24h d’affilée! Nous prenions un grand bol d’air chaque jour et ça nous faisait le plus grand bien! Définition de randododo

Les petits plus de la randododo:

  1. Faire dormir bébé pendant plus d’une heure;
  2. Écouter des podcasts sur la parentalité (Découvrir la parentalité);
  3. Amincir les fessiers, car marcher avec 6kg accrochés au ventre, c’est du sport!
La courbe de progression des bébés
Courbe des progrès du sommeil chez l'enfant de 0 à 1 an

Bébé fait ses nuits

On y a cru

(plus d'une fois)

Vers tes 7 mois maman a eu un déclic. Il était temps. J’avais entendu de ci de là, que les nuits étaient une décision commune, à maman et bébé… Ça s’est avéré dans notre cas!

Tu ne te réveillais presque plus jamais pour manger, mais tu perdais la tétine au moins quatre fois par nuit. Pour rappel, tu dormais à cette époque, emmaillotée et en lit cododo. Maman a alors décidé que c’était le moment.

Tu es allée dormir dans ta chambre. Il a fallu quelques nuits d’acclimatation, tu n’aimais pas trop avoir les bras libres… Mais tu as vite compris que cela te permettait de remettre toi-même la tétine.

En une semaine, tu dormais de 19h à 7h du matin! Seule, dans ta chambre, et unswaddled (en simple gigoteuse)! Incroyable! 

Pour ajouter à notre bonheur, tu as fait une première sieste de deux heures, puis une autre… Jusqu’à ce que toutes tes siestes durent entre 1h15 et 2h! Je dois avouer que j’ai encore ce réflexe de surveiller le babymoniteur toutes les 30 minutes… Mais ça finira par passer.

De l'emmaillotage à la gigoteuse

Régression du sommeil

Il est clair que nous sommes à présent rodés en sommeil de bébé. Nous avons tout tenté, investi dans des bouquins, dans du matériel… Nous avons conscience que les bébés vivent des périodes de régression… Mais ça n’aide pas à mieux les accueillir, les anticiper, ni les vivre.

Les régressions sont fréquentes la première année et c’est un sujet trop peu abordé. Entre les poussées dentaires, les développements moteurs et intellectuels, les angoisses de séparation… Il y a tellement de facteurs pouvant altérer le sommeil de bébé!

Quand, il y a quelques jours, sans signe annonciateur, tu as juste refusé de t’endormir. Que nous sommes, à nouveau, passés par les larmes, les cris et les objets jetés contre les murs… Je ne te cache pas la frustration et le désespoir que je vivais… 

Tout recommencer, chercher de nouvelles techniques, garder patience. Ce qui fonctionne en ce moment, pour apaiser tes pleurs et calmer cette peur de te retrouver seule dans ta chambre, c’est de marcher, avec toi dans les bras, en chantant notre traditionnelle berceuse. Interdiction de s’asseoir, sous peine de crise de pleurs immédiate…

Séance de sport homemade

Sauf que tu n’as visiblement pas conscience que tu n’es plus un petit nouveau né de 3kg… Aujourd’hui, ce sont 8 bons kilos de bébé potelé que Maman doit porter à bras.

Alors autant, dans un cours de bodypump à la salle de sport, il est facile d’abandonner, quand la série devient trop difficile… Autant, quand tu couches ton bébé, tu as beau avoir les épaules en feu, les biceps qui hurlent à la mort, les coudes et les poignets au bord de la tendinite… Tu ne lâches rien, tu sers les dents et tu continues, jusqu’à être sure à 100% que bébé dort profondément…

Tu tentes à ce moment là un largage dans le lit, le plus délicatement possible. Sauf que le lit grince, ou doudou se fait la malle et emporte la tétine avec lui, ou tout simplement bébé sent qu’il n’est plus collé à toi… et bébé se réveille, et pleure… Et tu repars pour quinze minutes de training!

Bilan de 9 mois de dodo

Bon, on n’est pas encore tout à fait à tes 9 mois, ok! Mais, on va croiser les doigts, prier, invoquer l’Univers, pour que d’ici là, nous soyons sortis de cette régression du sommeil…

Mais sinon, on peut dire qu’on approche du niveau experts en techniques “dodo de bébé” quand-même?! Je pense qu’on a tout, ou presque, expérimenté…

  • Rituel du coucher ✔
  • Bruit blanc ✔
  • Swaddle ✔
  • Berceuse ✔
  • Laisser pleurer ✔
  • Ne pas laisser pleurer ✔
  • Randododo ✔
  • Tétine et doudou ✔
  • Endormir au sein ou au biberon ✔

Il apparaît donc plutôt clair que la solution miracle n’existe pas. Les choses changent tellement vite… Il ne faut jamais s’estimer vainqueurs, ni vaincus! Et voir le bon côté des choses… J’ai le haut du corps de Laure Manaudou quand elle nageait encore et le bas du corps de Usain Bolt! 

Et à la fin de cette première année?

(Ce paragraphe a été rajouté 6 mois après l'écriture de l'article initial)

Je ne réécrirai pas tout l’article car finalement, rien n’a vraiment changé entre temps. Il y a eu des périodes avec et des périodes sans…

Il y a bien une technique que nous n’avions jamais mise en place avant tes 9 mois: dormir avec toi dans les bras une partie de la nuit… Bonjour les courbatures le lendemain matin! Mais cela a été la seule solution certaines nuits lors de notre voyage en France l’été de tes un ans.

On peut dire que les gros troubles du sommeil ont pris fin à tes 13 mois. Nous avions plus de nuits complètes que de nuits entrecoupées, les siestes étaient constantes et supérieures à une heure. 

Depuis, il a fallu passer par d’autre régressions (maladie, dents, stress…), et chaque fois nous repartions de zéro. Comme si nous n’y connaissions plus rien!

Nos "indispensables" pour le sommeil de bébé Louise

En conclusion, je dis juste bon courage à tous les parents... Il y a un bout à ce tunnel, je vous le jure. Mais je sais Ô Combien vous ne pouvez pas me croire pour le moment!

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